la flambée des prix touche tous les fruits et légumes, particulièrement la tomate, le poivron, la laitue et les haricots. la hausse n’est pas minime puisqu’elle a atteint les 200 dinars pour certains légumes tels que les haricots verts. «le marché est sous pression ».
la hausse continue de marquer les prix puisque la
mercuriale laisse un goût amer pour beaucoup. d’ailleurs,
football mercurial vapor, les pères de famille s’en sont rendu compte en faisant leurs achats dans les différents marchés de la capitale. une inquiétude des ménages qui s’étonnent de cette augmentation de prix, constatée aux marchés clausel, nelson ou encore ali mellah.
la plupart des produits ne descendent pas sous la barre des 50 da. la pomme de terre,
mercurial vapor 6, qui est un aliment nécessaire et de large consommation, n’est plus à la portée de tout le monde. son prix qui était de 35 da il n’y a pas longtemps, est actuellement de 50 da.
la tomate est cédée à 120 dinars, les navets à plus de 80 dinars, les carottes à 60 da. la courgette n’est pas épargnée par cette augmentation puisque le prix a augmenté de façon remarquable, atteignant les 80 dinars. l’aubergine a été également touchée par ce phénomène puisque proposée à 110 dinars au moment où les fèves sont affichés à 60 dinars, les oignons à 50 dinars.
pour la betterave, les vendeurs les cèdent à 70 dinars,
chaussures foot mercurial, la laitue entre 50 et 70 dinars, les piments verts à 170 da. quant aux petits pois, ils sont cédés à plus de 70 da le kilo. même les fruits ont connu une flambée qui fait fuir les acheteurs. la banane est à 150 da, la fraise à pas moins de 250 da, la pomme à 200 da et plus. les oranges sont audessus de la barre des 150 da, sauf pour celle de mauvaise qualité.
cette situation augure un quotidien pénible à des millions d’algériens et semble visiblement se généraliser à tous les produits et le pouvoir d’achat des algériens qui paient plus cher leurs produits, car le constat ne concerne pas uniquement les fruits et légumes mais aussi les viandes. les vendeurs proposent la sardine à 400 dinars, l’escalope de dinde affiche 650 dinars et le poulet, autre produit touché par l’augmentation, oscille entre 270 et 300 da.
raison pour laquelle, les consommateurs ont recours aux produits surgelés d’importation qui sont moins chers. pour rappel, l’année 2011 s’est annoncée difficile pour les algériens par la hausse vertigineuse des produits alimentaires de base, touchant les produits de première nécessité comme l’huile et le sucre qui ont connu une hausse imprévisible.
et avec les produits agricoles frais et la viande qui s’affichent à des prix exorbitants, l’on a l’impression que l’on fait face à une libre pratique des prix et ce sont là, des paramètres qui échappent à toute logique à même de justifier cette envolée des prix qui a engendré une baisse de la consommation des clients qui ne s’approvisionnent qu’en petites quantités.
nabila chikhi